L’Atelier en photos
Cette page vous invite à découvrir les coulisses de l’atelier, chaque légende raconte notre démarche de peinture. Bonne visite !
D’abord, ici, l’enfant peint debout, libre de ses mouvements.
On a le droit d’obverver car, observer, c’est faire quelque chose.
Premier geste : tenir l’outil-traceur, pour laisser jouer la main.
Peindre en haut. Le corps se met au diapason de l’expression.
Chacun se sent soutenu dans son évolution, avec des conseils techniques et un accompagnement attentif.
Le mélange des âges crée une énergie, sans hiérarchie, sans pression.
Les couleurs vibrantes et veloutées sont là pour se faire plaisir.
Dans cet espace libre, le mental se met au repos.
Mélanger les couleurs, les assembler, comme un jeu.
L’adulte peint aussi. Avec la pointe du pinceau, il libère son geste…
Un geste précis et libérateur…
Un geste qui vous amène à lâcher prise sur le résultat…
Laisser jaillir ce que le corps vous dicte. Une peinture, appelée « trace ».
La peinture redevient un moyen d’expression premier et originel.
Etre libre d’exprimer ses images, ses souvenirs, ses ressentis.
Ils découvrent une activité qui exclue la compétition et nous invite à partager.
Patiente, intuitive et stimulante, mon approche aide à vous sentir libre et en confiance, prêt à éclore…
L’enfant développe sa motricité fine.
Pas à pas, chacun se sociabilise et prend son autonomie.
Ils suivent leur propre curiosité.
Un pinceau dans la main, l’adolescent trouve un langage qui n’a pas besoin de mots.
Jeu de l’enfance : tout est simple quand on a 3 ans.
Dans sa petite bulle, elle développe son propre style.
L’enfant choisit ses thèmes, son sujet, ses inspirations.
Nos élèves découvrent spontanément des techniques académiques.
Ils peignent sur des grands murs, libres de leur exploration.
L’enfant imagine des mondes.
La peinture les ramène aux sources de notre propre monde.
Une fleur, du bleu, du vert. La simplicité fait renaître votre créativité.
Tout est là, juste là.
Et de cette expérience, on sort grandit.
Loin de tout jugement, on devient plus acceptant des autres…
Plus audacieux et inventif…
« Ce qui compte, c’est la spontanéité, l’impulsion. Voilà la vérité vraie. » Picasso
Ici, on a le droit d’exister tout simplement.
Alors, on se sent heureux !